Guide pratique pour les administrateurs familiaux

7 avril 2017

Lorsqu’une personne ne peut pas (plus) prendre de décisions concernant ses finances ou sa personne, le juge peut désigner un administrateur pour l’aider à prendre ces décisions, ou les prendre à sa place. L’administrateur peut être un professionnel, mais aussi un conjoint, un parent (proche), un voisin ou une bonne connaissance.

La demande de mise sous protection judiciaire est loin d’être une simple formalité. Il s’agit d’une mesure radicale qui peut susciter beaucoup d’émotions, tant pour la personne à protéger que pour celle qui en fait la demande. Avec la mise sous administration, on contribue à protéger un proche, mais cela reste une atteinte à l’autonomie de celui-ci.

Dans le cadre du nouveau statut de protection, le législateur donne la préférence à l’administrateur familial. Un grand nombre de personnes sont prêtes à assumer cette tâche, mais reculent devant le rôle à endosser. Elles se posent des questions. Qu’est-ce qu’une mise sous administration, au fond ? Quelles sont les alternatives ? Que fait un administrateur ? Comment demande-t-on une mise sous administration et comment se passe la gestion de celle-ci ? Qu’en est-il si la personne protégée ne veut pas coopérer, ou si l’administrateur ne veut plus assurer cette fonction ?

Ce guide pratique apporte une réponse à ces questions et à bien d’autres. Il s’adresse aux personnes qui envisagent une forme de protection pour elles-mêmes ou pour un proche. 

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Source: Fédération Royale du Notariat Belge